Humanitaire : LKM fait don de vivres pour plusieurs orphelins guinéens !
Le danseur, chorégraphe, chanteur, auteur et compositeur guinéen Amadou Koumabassa Aka Legros LKM se lance désormais dans l’humanitaire en apportant son aide aux enfants démunis. Hier dimanche 23 octobre, il a procédé à la remise d’un don à l’orphelinat Hakouna Matata par le biais de sa fondation, « Je Danse ».
Ce don, composé de produits alimentaires et hygiéniques est destiné à près de 100 orphelins du foyer Hakouna Matata ; situé à Dabompa , dans la commune de Matoto.Avec l’argent amassé grâce à son album solo ‘’M’ma Namougni’’ en Europe et de places de concerts, l’artiste guinéen a mis en place une fondation pour aider les jeunes à se réintégrer à travers l’ouverture prochaine de sa future école de danse.
« Étant lui-même issu d’une école de danse professionnelle depuis le Sénégal où il est revenu avec un diplôme, il veut créer à son tour une école de danse en Guinée qui ne sera pas exclusivement réservée à la danse parce qu’il y a plusieurs ramifications. On va s’occuper du social, de l’éducatif… Après avoir obtenu l’agrément pour la création de cette école de danse FONDATION JE DANSE, on a décidé donc de faire un premier pas à travers ce don à cet orphelinat… » , explique Jean Ravel SOVOGUI, chargé de communication de l’artiste guinéen.
C’est après un triste constat dans son pays d’origine, qu’Amadou Koumbassa, plus connu sous le nom de Legros LKM, décide de lancer la construction de son école de danse. L’objectif ? Extirper des jeunes dans la rue et soutenir leur développement par la culture, l’éducation et la santé.
« Nous disons merci aux autorités qui nous ont facilité l’obtention de notre agrément. Nous les invitons également à soutenir davantage ce noble projet conçu par un jeune pour les jeunes guinéens » rajoute le chargé de communication de l’artiste guinéen.
En parallèle de cet engagement, Legros LKM basé en France va aussi parrainer des enfants défavorisés pour qu’ils puissent bénéficier dans l’immédiat ; d’une bonne éducation scolaire.Un bel exemple à suivre ! N’est-ce pas ?
Mohamed KOMAH