Michel Lamah met en garde ses détracteurs : «Arrêtez de me prendre pour un fou, je ne suis pas là pour blaguer… »
Dans une vidéo -qu’il a lui-même réalisée- devenue virale sur la toile, Michel menace ses détracteurs et leurs familles en Guinée qui raillent sa vidéo de combat avec un de ses élèves.« Je fais cette vidéo pour répondre à certains blogueurs qui sont en train de mettre mes vidéos d’entraînement, qui prennent ça au sérieux comme si c’est un combat réel, moi je ne fais pas de combat réel avec mes élèves, c’est l’entraînement que je fais. Surtout toi Bénito, un p d… comme toi, toi qui n’es même pas militaire, tu ne connais rien dans l’armée, qui ne connais rien dans l’affaire militaire. Tes militaires que tu supportent-là, il faut choisir un, même votre Toumba dont tu parles-là, moi il me connaît très bien, il est à la Sûreté là-bas, demandez-lui qui est Agban champion? Toumba me connaît très bien. J’ai fait un combat avec Toumba au camp Makambo , il a engagé l’arme contre moi, j’ai engagé l’arme contre lui, ce sont les gens qui sont intervenus entre Toumba et moi.
Arrêtez de me prendre pour un fou, je ne suis pas là pour blaguer avec les gens. Toi Bénito, si tu ne fais pas attention avec moi, je connais ta famille, je vais rentrer dans ta famille, et je vais (….) Attention avec moi. Bénito, les Damaro, attention avec moi. Moi, je suis un militaire, je suis apolitique. Si vous faites vos démagogies-là, si vous faites du n’importe quoi, continuez dans vos démagogies mais celui qui va s’attaquer maintenant à ma communauté ou à ma personnalité je vais lui rentrer, ça c’est clair et net, je vais lui rentrer. Ça, c’est à l’intention des Damaro et Bénito, voilà, c’est moi qui vous parle, moi Michel Lamah, attention avec moi.Moi, je respecte tout le monde, vous n’avez rien à signer avec moi, je ne suis pas Doumbouya [président de la transition] aujourd’hui, je ne suis pas Doumbouya demain. Si vous avez des comptes à régler, réglez ça mais celui qui s’attaque à moi je vais lui rentrer, que ça soit clair et net. Damaro, tu es koninaké, Bénito, tu es konianké, je fais la vidéo-là pour vous répondre… Vous êtes assis à l’étranger en train de parler»
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